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LCD : Local Computational Design | R&D

LCD : Local Computational Design est un projet de recherche porté par Matières Premières / emilieu studio et le laboratoire thr34d5. Avec la Briqueterie du Nord et l’Ecole des Ponts ParisTech, son objectif est de développer de nouveaux services autour de la fabrication et de la construction en brique assistée numériquement ; notamment une base de données libre de droits et un service générant automatiquement les spécifications techniques d’une micro-architecture. 

Partenaires : emilieu studio, thr34d5, Briqueterie du Nord, Master Design by data – École des Ponts ParisTech

Lieux : France

Dates : 2020

Chef de projet : Sami Salameh

Mission : 

R&D nouveaux usages

Formation des partenariats et conception de la recherche

Accompagnement de projet en partenariat avec la Briqueterie du Nord


Un puissant outil d’architecture nourri au patrimoine local

Le projet propose un service donnant accès à une base de données de modèles de design numérique libres de droits, permettant de concevoir facilement une micro-architecture (petites constructions ou « édicules » : mobiliers urbains, arrêts de bus, entrée de bouche de métro, toilettes publiques, etc.) en fonction des besoins, de son climat et de son contexte L’objectif à terme est de générer automatiquement les spécifications techniques (plans, nomenclatures, etc.) nécessaires à la fabrication.

Le calepinage des briques évolue suivant les données implémentées dans l’algorithme.
Un outil à potentiel collaboratif et démocratique

Le projet LCD offre des perspectives collaboratives : l’outil permet de faire participer l’ensemble des acteurs locaux à l’élaboration d’un projet et de « paramétrer » des structures adaptables en fonction des usages et des contraintes climatiques et topographiques. L’ambition du projet est de faire participer les acteurs locaux dès la conception : suivant le modèle open source, chacun est libre d’enrichir la base de données avec ses propres créations. Les productions issues de ce projet de recherche permettent d’imaginer le numérique comme un levier pour la conception d’espaces publics bio-climatiques et de communs, une architecture au service de la démocratie et du territoire.